Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre courbe au milieu de son usine. Elle y jetait les articles de cuivre en vacarme, laissant les concupiscences danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pratique. C’était une souffle lente, une automatisme parvenue d’un acte familial répété sans arrêt. https://voyance-gratuite-en-ligne78765.blog-a-story.com/15020953/la-matière-qui-satisfait