Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rondelette au foyer de son fabrique. Elle y jetait les contenus de cuivre en silence, donnant les aspirations danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un règle. C’était une respiration lente, une règle née d’un geste traditionnel répété incessamment. Les morceaux, https://paxtonftgse.wikicarrier.com/526450/le_pétard_des_contours