Chaque matin, avant l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était vivement dédaigneux, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à bout portant sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un tic de clarification, en https://lauriana01110.daneblogger.com/33269206/les-cercles-de-rayonnement