Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son accoutumance, attendait que l’obsidienne parle à contemporain. La pierre noire semblait absorber la luminosité sélénite, vibrer par-dessous la pression du vent, et parfois, sans éclairer, elle résonnait de cette voix séculaire https://cesardnsvw.ka-blogs.com/87169587/les-empreintes-effacées